Entre lacs et
montagnes

Rechercher

Conférence gesticulée "Des racines et des êtres"

  • ©des racines et des êtres

Dates et horaires :
Vendredi 06/06/2025 20:30-22:00

Vendredi 6 juin à 20h30 à la Sittelle : Conférence gesticulée "Des racines et des êtres, ou comment j’ai changé de regard sur le vivant"

Benjamin Baudiquez


Organisé par l’Association Intentions pour la Terre en partenariat avec le collège Louis Bouvier et le Centre Culturel du Grandvaux.


Ça commence perché dans un arbre à faire des cabanes et finalement, on peut se poser la question : est-ce que Benjamin est vraiment descendu de cet arbre ? Scruter l'horizon tout en ayant les pieds bien ancrés dans la terre, c'est le point commun entre les arbres et lui.


Comment les plantes, les conceptions des peuples premiers et un lien sensible avec le vivant peuvent nous aider à changer notre regard sur le monde et sur notre relation à l’environnement.

Benjamin nous fera vivre une expérience unique et nous emmènera avec lui dans une envolée ébouriffante et parfois désopilante !


14h00 séance réservée aux collégiens

Participation libre et consciente


Gratuit €
  • SAINT-LAURENT-EN-GRANDVAUX

    Théâtre - L' Arbre à Sang

    Vendredi 20 juin à 20h à la Sittelle, théâtre "l'Arbre à sang" Organisé par le Centre Culturel en partenariat avec le Nouveau Théâtre Besançon.


    Gratuit, mais réservation obligatoire en ligne : https://cdn-besancon.mapado.com/event/384310-larbre-a-sang-ici-la



    L’ARBRE À SANG

    Texte : Angus Cerini (Traduction de l’anglais : Dominique Hollier)

    Mise en scène : Tommy Milliot

    Assistant mise en scène : Matthieu Heydon

    Dramaturgie : Sarah Cillaire

    Distribution : Dominique Hollier, Lena Garrel, Aude Rouan

    Production : Nouveau Théâtre Besançon Centre dramatique national

    Production à la création : Cie Man Haast & La Comédie de Béthune – CDN Hauts-de-France

    Avec le soutien du Centquatre-Paris


    Dans une ferme isolée d’une région retirée d’Australie – mais ce pourrait être dans les Vosges ou dans le Nevada – trois femmes, une mère et ses deux filles, viennent de mettre fin à leur calvaire en tuant leur mari et père. Confrontées au problème de ce corps encombrant qu’il faut bien faire disparaître, elles connaîtront satisfaction, exaltation, puis sidération, culpabilité, peur et enfin libération.

    Angus Cerini nous livre une fable haletante, sans pitié, sur le laissez-faire des violences domestiques, un conte qui renoue avec le mythe, dans une langue extrêmement rythmée, brutale, hachée, concise, puissante, parfois malmenée, une sorte de ‘‘poésie rurale’’, des rimes, des allitérations, des assonances, quelque chose qui parfois confine au slam, mais pour s’en éloigner aussitôt, un souffle, des images…

    Dans un dispositif proche du théâtre de tréteaux, le public est au plus proche des trois actrices qui prennent en charge le récit de cette comédie noire, tour à tour protagonistes ou narratrices.